Les études du sommeil les plus courantes sont :
Le polysomnogrammeEdit
La polysomnographie enregistre plusieurs fonctions corporelles pendant le sommeil, notamment l’activité cérébrale, les mouvements des yeux, les taux sanguins d’oxygène et de dioxyde de carbone, la fréquence et le rythme cardiaques, la fréquence et le rythme respiratoires, le débit d’air par la bouche et le nez, le ronflement, les mouvements des muscles du corps et les mouvements de la poitrine et du ventre. Ces tests sont généralement effectués la nuit dans un hôpital ou un centre du sommeil. Les tests de polysomnogramme peuvent donner un aperçu de ce qui ne va pas dans le sommeil d’une personne et de la raison pour laquelle le problème se produit.
Test de latence de sommeil multiple (MSLT)Edit
Le MSLT mesure, par plusieurs occasions de sieste dans une journée, le temps qu’il faut à une personne pour s’endormir. Il détermine également si le sommeil paradoxal apparaît au moment de l’endormissement. Il est généralement effectué immédiatement après une étude de nuit. Ce test est la norme pour tester la narcolepsie et l’hypersomnie idiopathique.
Test de maintien de l’éveil (MWT)Edit
Ce test mesure si une personne peut rester éveillée pendant une période où elle est normalement éveillée. Comme le MSLT, le MWT est réalisé dans un centre de diagnostic du sommeil sur 4 – 5 périodes de sieste. Une latence moyenne d’endormissement inférieure à 10 minutes est évocatrice d’une somnolence diurne excessive.
Test de sommeil à domicile (HST)Edit
Ces tests comprennent généralement la personne dont le sommeil est étudié recevant un moniteur portable et peuvent inclure d’autres éléments tels qu’une pince à doigt et un capteur de débit d’air. Les éléments mesurés comprennent la saturation en oxygène, la fréquence cardiaque, le débit d’air, les mouvements du corps, le temps passé à ronfler, la position de sommeil et les ondes cérébrales.