Quel est le lien ? Vol à l’étalage, fraude au retour et cartes-cadeaux

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Les détaillants se méfient depuis longtemps des retours sans reçu, mais dans la poussée pour assurer une bonne expérience client, beaucoup sont souvent prêts à ignorer l’absence d’un petit morceau de papier.

Dans la période récente, cela a vu les détaillants offrir des cartes-cadeaux, plutôt que de l’argent comptant, mais cela aussi a des complications.

« Les détaillants peuvent tenter de réduire les retours frauduleux en fournissant une carte-cadeau ou un crédit de magasin plutôt qu’un remboursement, une option populaire lorsqu’un reçu n’est pas présent », note l’enquête NRF ORC.

« Mais de plus en plus, ces cartes-cadeaux et crédits sont vendus, souvent en ligne. Cette méthode peut ralentir le voleur à obtenir l’argent, mais le résultat est finalement le même : il se retrouve avec les dollars provenant de la marchandise volée et retournée. »

Loss Prevention Magazine a expliqué l’attrait de l’échange d’articles volés contre des cartes-cadeaux.

« Plutôt que de receler la marchandise pour 30 % de sa valeur dans les rues ou de la vendre sur le marché de l’occasion pour 60 à 70 % de sa valeur, ils peuvent retourner la marchandise au magasin, recevoir une carte-cadeau et vendre cette dernière jusqu’à 80 % de sa valeur marchande.

« En tenant compte de la partie taxe de vente du retour, qui peut rapporter 5 à 10 pour cent supplémentaires selon l’État, le voleur peut envisager un retour sur son « investissement » pour la marchandise volée de 85 à 90 pour cent. »

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