titre complet Things Fall Apart
auteur Chinua Achebe
type d’œuvre Roman
genre Critique postcoloniale ; tragédie
langue anglaise
temps et lieu écrit 1959, Nigeria
date de première publication 1959
éditeur Heinemann Educational Books
narrateur Le narrateur est anonyme mais montre de la sympathie pour les divers résidents d’Umuofia.
point de vue La narration est à la troisième personne, par un personnage omniscient qui se concentre sur Okonkwo mais passe d’un personnage à l’autre pour détailler les pensées et les motivations des différents individus.
tone Ironique, tragique, satirique, fable
tense Passé
décor (temps) 1890s
décor (lieu) Villages du bas Nigerian, Iguedo et Mbanta en particulier
protagoniste Okonkwo
conflit majeur Sur un plan, le conflit oppose la société traditionnelle d’Umuofia aux nouvelles coutumes apportées par les Blancs, qui sont à leur tour adoptées par de nombreux villageois. Okonkwo s’efforce également d’être aussi différent que possible de son père décédé. Il pense que son père était faible, efféminé, paresseux, ignominieux et pauvre. Par conséquent, Okonkwo s’efforce d’être fort, masculin, industrieux, respecté et riche.
action de révolte Le démasquage d’un egwugwu par Enoch, l’incendie de l’église par l’egwugwu et l’arrestation sournoise des chefs Umuofian par le commissaire de district forcent la tension entre l’Umuofia et les colonisateurs à un point de rupture.
climax Le meurtre, ou uchu, par Okonkwo d’un messager de la cour
action de chute Les villageois permettent aux messagers du gouvernement blanc de s’échapper, et Okonkwo, réalisant la faiblesse de son clan, se suicide.
thèmes La lutte entre la tradition et le changement ; diverses interprétations de la masculinité ; la langue comme signe de différence culturelle
motifs Chi, imagerie animale
symboles Le roman est hautement symbolique, et il demande à être lu en termes symboliques. Deux des principaux symboles sont les sauterelles et le feu.Les sauterelles symbolisent les colons blancs qui s’abattent sur les Africains, semblant augurer du meilleur mais présageant en fait des rencontres difficiles.Le feu incarne la nature d’Okonkwo – il est féroce et destructeur. Un troisième symbole, les tambours, représente le lien physique de lacommunauté des hommes du clan d’Umuofia, et agit comme un battement de cœur métaphoriquequi bat à l’unisson, unissant tous les membres du village.
préfiguration La description initiale de l’auteur d’Ikemefuna comme un « garçon malchanceux », qui présage son meurtre éventuel par Okonkwo ; l’arrivée des sauterelles, qui symbolise l’arrivée éventuelle des colonisateurs ; la suggestion d’Obierika qu’Okonkwo se tue, qui annonce le suicide éventuel d’Okonkwo
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